Voilà, ces quelques lignes sont pour toi qui jalouse la présence sur mes pages, d'individus cravatés ou que-sais-je-encore.

Si, soudainement, je me mets à relater les mièvreries de mon quotidien désolant d'ennui, c'est que je n'arrive plus à évoquer quoi que ce soit d'autre.

Tes critiques ou encore les honteuses comparaisons dont tu m'affliges m'handicapent.

Et je m'en veux d'être dépendante de ton jugement.

Le contenu de mon blog n'a pas à te plaire à toi particulièrement, je ne cherche pas non plus à te séduire. Si nous sommes ce que nous sommes c'est que c'est déjà fait.

Disons que c'est la peur de l'abandon et le manque de toi qui me hante.

Tu comptes beaucoup pour moi. Tu le sais bien ça.

Je veux juste ne pas te décevoir.