L’heure du bilan s’amorce et dans quelques semaines, la France. Depuis que la date de départ a été programmée, je commence tout juste à apprécier Londres. Parce qu’il va falloir lui dire adieu, parce que je sais que je ne la reverrai pas. Et parce qu’une page se tourne.
À croire qu’il faut se sentir délié, libre, pour pleinement profiter de ce qui s’offre.
Quelques semaines plus tôt, je n’aurais jamais cru dire ça, mais voilà, je suis un peu triste de partir.
La vérité, c’est que j’ai la trouille.
bienvenue ! aux waters les english !